Avec le 75e anniversaire de la National Basketball Association (NBA) qui approche à grands pas en 2022, c'est le moment idéal pour réfléchir à ce qui a rendu le jeu génial et comment il est arrivé là où il est aujourd'hui. Chaque année depuis sa création en 1946, le jeu NBA a grandi, changé, évolué, intégré et internationalisé avec de nouvelles règles, des équipes d'expansion, des controverses majeures et des jalons incroyables.
Stacker a analysé chaque année que la NBA a été en activité de 1946 à 2019 et a trouvé les instances les plus excitantes, les joueurs célèbres, les affrontements qui ont changé la culture et les moments record qui ont façonné la ligue. Chaque année, la NBA apportait quelque chose de nouveau aux fans - et Stacker a trouvé l'histoire la plus pertinente de l'année de votre naissance (tant qu'elle tombe dans la chronologie, bien sûr) en parcourant ESPN, Sports Illustrated, Basketball Reference et l'officiel de la NBA. site.
Revivez la progression des grands hommes de la ligue de George Mikan et Wilt Chamberlain à Kareem Abdul-Jabbar et Shaquille O'Neal, voyez comment le jeu est passé des slammers de haut vol aux spécialistes à 3 points et réapprenez l'histoire des équipes dynastiques qui ont dominait le paysage.
Quel moment ou joueur NBA a symbolisé l'année de votre naissance ? Les enfants du millénaire qui ont grandi avec les équipes de LeBron James et les Warriors de Stephen Curry contrôlant la ligue auraient du mal à croire que les baby-boomers ont réellement vu les New York Knicks remporter deux titres dans les années 1970. Et bien que la rivalité Lakers-Celtics soit toujours bien vivante, il y avait peut-être quelque chose de plus palpable à vivre à travers les batailles de poids lourds de Magic Johnson et Larry Bird dans les années 80.
Pour les accros de la NBA et les fans occasionnels, cette liste passionnante suscitera des souvenirs et élèvera le discours sur la façon dont la NBA est devenue l'une des ligues sportives les plus excitantes et les plus progressistes d'Amérique.
Vous souvenez-vous, souhaitez-vous oublier ou racontez-vous encore les histoires vécues à travers ces moments ? Poursuivez votre lecture pour faire revivre le riche passé de la NBA tout en célébrant sa longue histoire et son avenir infiniment brillant.
1 / 75 Avant même que la NBA n'existe, il existait plusieurs ligues professionnelles à travers le pays, comme la Basketball Association of America (BAA) et la National Basketball League (NBL). La saison inaugurale du BAA a eu lieu en 1946-1947 et comportait 11 équipes. Certaines de ces équipes peuvent encore être trouvées dans la NBA d'aujourd'hui, notamment les Boston Celtics, les New York Knickerbockers (maintenant les Knicks), les Philadelphia Warriors (maintenant les Golden State Warriors) et les Minneapolis Lakers (maintenant les Los Angeles Lakers). Aujourd'hui, la NBA retrace sa lignée directement à la BAA en utilisant la date de 1946 comme première saison NBA.
2 / 75 Les Philadelphia Warriors et les Chicago Stags ont disputé le tout premier championnat BAA à la fin de la saison 1946-1947. Les Warriors ont battu les Stags 4-1 dans la série derrière le jeu de la première star de la BAA, Joe Fulks, qui a récolté en moyenne 23,2 points par match pour la saison. Les joueurs des Warriors ont chacun gagné 2 000 $ supplémentaires pour leur victoire au championnat, ce qui était un nombre considérable à l'époque.
3 / 75 La saison 1947-1948 de la BAA a connu un début difficile alors que quatre des 11 équipes d'origine se sont repliées et que le nombre total de matchs a été réduit de 60 à 48. En conséquence, les Baltimore Bullets (précurseurs des Washington Wizards d'aujourd'hui) ont été amenés. dans la ligue et a fini par remporter le deuxième championnat BAA. L'un des principaux changements de règles de cette année existe toujours aujourd'hui :après qu'un joueur a commis six fautes sur un adversaire, il est automatiquement disqualifié.
4 / 75 Au début de la saison 1948-1949, la BAA a fusionné avec quatre équipes de la NBL, puis six équipes supplémentaires à l'été 1949. Avec l'afflux d'équipes et de talents, la ligue a officiellement changé son nom en National Basketball Association. – bien que beaucoup considèrent encore le match « original » de la NBL comme le match BAA de 1946 entre les Huskies de Toronto et les Knickerbockers de New York au Maple Leaf Gardens de Toronto. Avec les fusions, la NBA a également hérité des meilleurs joueurs du pays, sa plus grande attraction vedette étant George Mikan des Lakers de Minneapolis. Mikan mesurait 6 pieds 10 pouces et dominait la compétition avec une moyenne de 28,3 points par match et remportant le premier des cinq championnats NBA pour l'équipe de Minneapolis.
5 / 75 Jusqu'en 1950, les équipes de basket-ball professionnelles étaient entièrement composées d'athlètes blancs. Cette barrière a été brisée en 1950 lorsque les Celtics de Boston ont repêché le premier joueur noir (Chuck Cooper), les Knickerbockers de New York ont signé le premier joueur noir (Nat "Sweetwater" Clifton) et les Capitals de Washington ont présenté le premier joueur noir dans un match de la NBA. (Comte Lloyd).
6 / 75 Alors que la NBA n'en était qu'à ses balbutiements, la ligue avait besoin d'attirer les foules et le propriétaire des Celtics de Boston, Walter Brown, pensait qu'un match des étoiles aiderait à faire passer le message dans tout le pays. Le tout premier All-Star Game a eu lieu le 2 mars 1951 au Boston Garden et les All-Stars de la Conférence de l'Est ont battu la Conférence de l'Ouest 111-94 avec "Easy Ed" Macauley remportant le premier MVP du All-Star Game.
7 / 75 En raison de la domination absolue de George Mikan dans la ligue, la NBA a décidé d'élargir la voie des fautes de 6 à 12 pieds au début de la saison 1951–52. Plus tard, ce changement a été appelé "la règle de Mikan", bien qu'il n'ait pas empêché Mikan et les Lakers de Minneapolis de remporter un autre championnat la même année.
8 / 75 Les Lakers de Minneapolis sont considérés comme la première dynastie de la NBA, qui a remporté son deuxième championnat consécutif en 1953 et a remporté cinq championnats entre 1948 et 1954. L'équipe était dirigée par le grand homme George Mikan, qui a dominé la ligue en marquer et rebondir. Les Lakers ont remporté des championnats consécutifs en 1949 et 1950 et ont également dominé avec trois championnats consécutifs entre 1952 et 1954.
9 / 75 Au début de la saison 1954-1955, la NBA cherchait à apporter plus d'excitation dans le jeu, d'autant plus que son joueur le plus excitant, George Mikan, venait de prendre sa retraite. Entrez l'horloge de 24 secondes. Danny Biasone, propriétaire des Syracuse Nationals, a eu l'idée d'un chronomètre des tirs qui obligeait les joueurs à tirer un panier dans les 24 secondes ou à perdre le ballon. Le changement de règle a immédiatement accéléré le jeu et injecté cette dose d'excitation dont la ligue avait tant besoin.
10 / 75 Avec l'ère du chronomètre officiellement en place, les scores dans la ligue ont commencé à augmenter. Les moyennes de la NBA sont passées de 79,5 points par match à 93,1 alors qu'un style de jeu plus rapide commençait à prendre forme. Certaines des jeunes stars de la ligue, comme Bob Cousy et Paul Arizin, ont également vu leurs moyennes de points et de passes décisives augmenter, donnant à la ligue sa première dose de vrais moments forts.
11 / 75 Au cours de la saison 1954-1955, Bob Pettit est entré dans la ligue et a remporté le prix de la recrue de l'année avec une moyenne de 20,4 points par match pour les Milwaukee Hawks. Au début de la saison 1955-1956, les Hawks ont déménagé à Saint-Louis et Pettit est devenu le tout premier MVP de la NBA tout en marquant 25,7 points et engloutissant 16,2 rebonds par match. Malheureusement, le jeu individuel ne s'est pas traduit par un succès d'équipe :les Hawks ont perdu contre les Ft. Wayne Pistons lors de la finale de la division Ouest.
12 / 75 Alors que les Lakers de Minneapolis ont dominé la première décennie de la NBA, les Celtics de Boston ont détruit la ligue pendant les 10 années suivantes et au-delà. Sous la direction de l'entraîneur Red Auerbach, les Celtics ont remporté leur premier titre en 1957 tout en remportant diverses distinctions et réalisations individuelles. Bob Cousy était le MVP de la ligue et le MVP du All-Star Game, Tom Heinsohn était la recrue de l'année, Bill Sharman a mené la ligue en pourcentage de lancers francs et une jeune recrue du nom de Bill Russell a mené la ligue en rebondissant avec 19,65 par match - malgré la conception populaire que Maurice Stokes a dirigée (Stokes, en fait, l'a fait l'année précédente).
13 / 75 La course à la suprématie de la ligue des Boston Celtics a dû faire un petit détour au cours de la saison 1957–58. L'équipe est allée 49-23 pendant la saison régulière, Bill Russell était le MVP de la ligue, et ils étaient en bonne voie pour un deuxième championnat consécutif. Il n'y avait qu'un seul problème :Bob Pettit. Les Celtics ont affronté les St. Louis Hawks lors de la finale de la NBA et ont eu de la malchance lorsque Bill Russell s'est foulé la cheville lors du match 3 et était absent pour le match 4. Les Hawks ont pris une avance de 3-2 avant le match 6 lorsque Pettit a dominé. le match en marquant 50 points et en donnant aux Hawks leur seul titre de champion.
14 / 75 On peut soutenir que la dynastie des Boston Celtics a commencé deux ans plus tôt avec son premier titre de champion, mais en 1959, l'équipe a remporté le premier de huit titres consécutifs, remportant finalement 11 titres en 13 ans et établissant d'importants records sportifs professionnels en cours de route. Le titre de 1959 a été un tour de force alors que l'équipe a balayé les Lakers de Minneapolis lors de la finale de la NBA 4-0.
15 / 75 Il n'y a jamais eu d'autre joueur comme Wilt Chamberlain. Chamberlain a en fait commencé sa carrière professionnelle en tant que membre des Harlem Globetrotters en 1958 et a fait ses débuts en NBA lors de la saison 1959-1960. Au cours de son année recrue, Chamberlain a mené la ligue en marquant (37,6) et en rebondissant (27), a reçu le titre de recrue de l'année, le MVP du match des étoiles de la NBA et le joueur le plus utile de la ligue. Le 24 novembre 1960, Chamberlain a établi le record de rebonds en un seul match en accrochant 55 planches. Son record qui tient toujours aujourd'hui.
16 / 75 Un triple-double, c'est quand un joueur affiche une moyenne à deux chiffres dans trois catégories offensives pour un match. Un triple-double se compose généralement de 10 points ou plus, de rebonds et de passes décisives, bien que les blocages et les interceptions comptent également. Les triples doubles sont rares pour un seul match, c'est pourquoi c'était si incroyable quand Oscar Robertson est devenu le premier jeu de l'histoire de la NBA à faire en moyenne un triple double pendant une saison entière. Au cours de la saison 1961-1962, Robertson a récolté en moyenne 30,8 points, 11,4 passes décisives et 12,5 rebonds.
17 / 75 La saison 1961-1962 a eu son lot d'exploits incroyables. Oscar Robertson a réalisé en moyenne un triple-double, Bill Russell a décroché près de 24 rebonds par match et Wilt Chamberlain a récolté en moyenne 50,4 points par match. Mais rien comparé à ce que Chamberlain a fait le 2 mars 1962. Dans un match contre les New York Knicks, Chamberlain a marqué 100 points, menant son équipe à une victoire 169-147. Le jeu à 100 points est le plus grand nombre de points jamais marqués en un seul concours, un record qui reste à ce jour.
18 / 75 Alors que Wilt Chamberlain dominait la NBA au niveau individuel, Bill Russell des Celtics de Boston dominait la ligue du point de vue de l'équipe. De 1960 à 1963, Russell est devenu le premier joueur de l'histoire de la NBA à remporter trois prix MVP consécutifs tout en portant les Celtics à leur cinquième championnat consécutif.
19 / 75 Les Celtics de Boston ont égalé les Yankees de New York de la Ligue majeure de baseball (MLB) et les Canadiens de Montréal de la Ligue nationale de hockey (LNH) en 1963 en tant que seules équipes à remporter cinq championnats consécutifs. Les Celtics ont de nouveau gagné en 1964, battant les San Francisco Warriors de Wilt Chamberlain en finale et établissant le record du sport professionnel américain pour la plupart des championnats consécutifs. L'équipe a finalement remporté huit matchs de suite, un record qui tient à ce jour.
20 / 75 Avec seulement cinq secondes à jouer dans le match 7 de la finale de l'Est entre les Celtics de Boston et les 76ers de Philadelphie, les Celtics menaient d'un point et les 76ers avaient le ballon. Dans un moment miraculeux qui a été immortalisé par l'annonceur des Celtics Johnny Most, l'attaquant des Celtics John Havlicek a volé la passe entrante de Hal Greer, renvoyant Boston à la finale de la NBA où ils ont remporté leur septième championnat consécutif.
21 / 75 La dynastie des Boston Celtics ne s'est pas arrêtée là, mais leur série consécutive de victoires consécutives au championnat s'est terminée par huit victoires consécutives lorsqu'ils ont remporté le titre en 1966. Après la victoire, le légendaire entraîneur-chef des Celtics, Red Auerbach, a pris sa retraite, nommant Bill Russell son successeur et est ensuite devenu le directeur général de l'équipe. La série de huit championnats consécutifs des Celtics est toujours la plus longue séquence de championnats parmi tous les grands sports professionnels aux États-Unis.
22 / 75 Il a fallu un effort herculéen pour détrôner les Boston Celtics, mais Wilt Chamberlain et les Philadelphia 76ers ont battu les champions lors de la finale de la division Est de 1967. Chamberlain a réalisé en moyenne un triple-double avec 21,6 points, 32 rebonds et 10 passes décisives pour battre les Celtics en cinq matchs. Lors de la finale de la NBA, les 76ers ont battu l'ancienne équipe de Wilt, les San Francisco Warriors, en six matchs, donnant à Chamberlain son premier titre NBA.
23 / 75 Lorsque Red Auerbach a pris sa retraite de l'entraînement des Celtics de Boston en 1966, il a nommé Bill Russell son remplaçant, faisant de Russell le tout premier entraîneur afro-américain de la NBA. Mais Russell n'était pas seulement l'entraîneur :il a également joué et mené les Celtics vers un autre championnat de la NBA lorsque Boston a battu les Lakers de Los Angeles en six matchs en 1968.
24 / 75 En 1969, l'American Basketball Association (ABA) en était à sa troisième saison et présentait une foule de joueurs vedettes comme Connie Hawkins, Rick Barry, Spencer Haywood et d'autres. La NBA voulait se différencier de l'ABA, ils ont donc décidé de créer un logo iconique. La ligue a engagé le cabinet de conseil Siegel+Gale, qui a trouvé une photo de la superstar de la NBA Jerry West et a transformé l'image en silhouette que le jeu utilise encore comme logo à ce jour.
25 / 75 La finale de la NBA de 1970 mettait en vedette les Lakers de Los Angeles avec Wilt Chamberlain et Jerry West contre les Knicks de New York avec Willis Reed et Walt Frazier. Les équipes égales se sont partagées les six premiers matchs, menant à un match épique 7 pour le championnat. Willis Reed s'est déchiré un muscle à la cuisse lors du match 5 et personne ne savait s'il jouerait dans le match décisif. De manière dramatique, Reed a combattu la douleur et est apparu sur le terrain avant la dénonciation. Reed n'a joué que 27 minutes et n'a marqué que quatre points, mais il a inspiré son équipe, a plongé le public new-yorkais dans une frénésie et a aidé les Knicks à remporter leur tout premier titre NBA.
26 / 75 Avant la saison NBA 1971, Lew Alcindor était déjà considéré comme l'un des meilleurs basketteurs au monde. Il a remporté le titre de recrue de l'année en 1970, après avoir remporté trois championnats nationaux consécutifs à l'UCLA. Alcindor a surpris le monde du basket lorsqu'il s'est converti à l'islam en 1971 et a changé son nom en Kareem Abdul-Jabbar. La décision a suscité pas mal de controverses à l'époque, mais cela n'a pas empêché Abdul-Jabbar d'exceller sur le terrain. Au cours de sa première année en tant qu'Abdul-Jabbar, il a remporté le titre de MVP de la ligue et a amené son équipe, les Milwaukee Bucks, leur seul championnat NBA.
27 / 75 Cela a commencé le 5 novembre 1971 et s'est terminé le 9 janvier 1972, et c'est toujours l'un des records les plus durables de l'histoire du sport. Les Lakers de Los Angeles sont entrés dans la saison 1971-1972 en tant qu'équipe en mission. Dirigés par Jerry West et Wilt Chamberlain, les Lakers se sont régalés de la compétition et ont remporté 33 matchs consécutifs sur 65 jours au cours de la saison régulière. Ce succès s'est traduit par les séries éliminatoires, où l'équipe a traversé Chicago et Milwaukee pour remporter le championnat contre les Knicks de New York (vengeant ainsi leur défaite deux ans auparavant).
28 / 75 Bien qu'il soit l'un des joueurs les plus petits de la ligue, Nate « Tiny » Archibald n'a pas utilisé sa petite taille comme excuse. Debout à un petit 6 pieds 1 pouce, Archibald était une force avec laquelle il fallait compter sur le terrain. Au cours de la saison 1972-1973, Archibald est devenu le premier - et le seul - joueur à mener la ligue en points (34) et en passes décisives (11,4) au cours de la même saison.
29 / 75 Le triple-double est l'un des exploits les plus impressionnants qu'un joueur puisse réaliser dans un match. Un triple-double, c'est quand un joueur réalise des nombres à deux chiffres dans l'une des cinq catégories offensives :points, rebonds, passes décisives, blocages et interceptions. Le 18 octobre 1974, Nate Thurmond a fait l'impensable lorsqu'il a enregistré le tout premier quadruple-double avec 22 points, 14 rebonds, 13 passes et 12 contres. À ce jour, il n'y a eu que cinq quadruples doubles dans l'histoire de la NBA.
30 / 75 La finale de la NBA de 1975 était spéciale pour plusieurs raisons. Premièrement, le concours opposait deux équipes, les Golden State Warriors et les Washington Bullets, qui n'avaient jamais remporté de championnat auparavant. Deuxièmement, et plus important encore, la série a été entraînée par deux entraîneurs afro-américains (Al Attles pour les Warriors et K.C. Jones pour les Bullets) pour la première fois dans l'histoire du sport professionnel américain. Les Warriors ont finalement gagné, balayant les Bullets en seulement quatre matchs.
31 / 75 Alors que la ligue était au bord de la faillite, l' American Basketball Association (ABA) était sur ses dernières jambes au début de la saison 1976-1977. En conséquence, la NBA a fusionné avec l'ABA et a amené les quatre équipes les plus performantes - les Denver Nuggets, les New York Nets, les Indiana Pacers et les San Antonio Spurs - dans le giron. L'afflux de talents a redynamisé la ligue alors que des joueurs comme Julius "Dr. J" Erving et George "Iceman" Gervin ont apporté une touche spéciale au jeu.
32 / 75 Venant de l'ABA, Julius "Dr. J ”Erving était le joueur le plus excitant à rejoindre les rangs de la NBA lors de la saison 1976-1977. Erving a été repêché par les 76ers de Philadelphie et son impact a été immédiat, menant l'équipe à 50 victoires au sommet de la division Atlantique. Il n'y avait qu'un seul problème:les 76ers devaient affronter les Portland Trailblazers dirigés par Bill Walton en finale. Après avoir remporté les deux premiers matchs de la série, il semblait que les 76ers se qualifieraient pour le championnat. Walton a cependant repris les quatre matchs suivants, apportant aux Blazers leur premier et unique championnat avec une moyenne de 18,5 points et 19 rebonds par match.
33 / 75 Bien que le basket-ball soit un jeu d'équipe, il existe d'innombrables récompenses individuelles que les joueurs peuvent accumuler. L'une de ces distinctions est le titre de marqueur, qui revient au joueur qui marque le plus de points en moyenne au cours d'une année. En 1978, le titre de marqueur s'est joué au dernier match de l'année alors que David Thompson des Denver Nuggets et George Gervin des San Antonio Spurs n'étaient séparés que par 14 points au total. Le match de Thompson a été joué en premier et il a marqué 73 points, portant sa moyenne à 27,15 points par match. Gervin a joué plus tard dans la journée et a marqué 63 points, devançant à peine Thompson avec une moyenne de 27,22 points par match à la fin de la saison.
34 / 75 Le tir à 3 points a été l'un des moments forts de l'ABA, qui s'est déroulée de 1967 à 1976 avant de fusionner avec la NBA. La NBA a été un peu lente à adopter le point culminant de la signature de son partenaire, mais elle l'a finalement fait, créant une ligne à 3 points pour le début de la saison 1970-1980. Les joueurs ont mis du temps à s'adapter à la nouvelle réalité; mais le pointeur à 3 points est la partie la plus mortelle du jeu aujourd'hui, avec des équipes qui tirent à distance à un rythme plus élevé que jamais.
35 / 75 En tant que recrue, Magic Johnson a non seulement aidé son équipe à remporter un championnat NBA; il a remporté le titre de MVP de la finale en disputant l'un des plus grands matchs de l'histoire de la NBA. Dans le match 5 de la finale contre les 76ers de Philadelphie, le centre vedette des Lakers Kareem Abdul-Jabbar s'est tordu la cheville et a été écarté du match 6. À sa place, Johnson a commencé le match 6 au centre et a joué aux cinq positions. À la fin du match, Johnson avait 42 points, 15 rebonds, sept passes décisives, le match et le titre, et la distinction d'être le plus jeune MVP de la finale de l'histoire de la NBA.
36 / 75 Les Celtics de Boston sont la franchise la plus dominante de l'histoire de la NBA, mais l'équipe était dans une crise jusqu'à ce qu'elle reprenne et fasse ses débuts avec Larry Bird lors de la saison 1979-1980. Bird a aidé les Celtics à remporter leur premier titre en 1981 en battant les Houston Rockets en six matchs. Bird a terminé la série avec une moyenne de 15,3 points, 15,3 rebonds et sept passes décisives par match.
37 / 75 Lorsque Moses Malone a signé avec les 76ers de Philadelphie et a aidé l'équipe à remporter 65 victoires au cours de la saison 1982-1983, on lui a demandé de faire une prédiction sur la façon dont ils s'en sortiraient en séries éliminatoires. Malone a répondu "fo', fo', fo'", prédisant que l'équipe balayerait chaque tour en quatre matchs sur le chemin du titre. Les 76ers ont fini par perdre un match contre les Bucks lors de la finale de la Conférence Est, donc l'expression a dû être changée en "fo', fi', fo'" après avoir balayé les Lakers en finale.
38 / 75 Dans ce qui était par ailleurs un match de saison régulière moyen, le 13 décembre 1983, les Denver Nuggets et les Detroit Pistons ont disputé le match le plus marquant de l'histoire de la NBA. Dans un concours de trois prolongations, les Pistons ont finalement gagné 186-184 pour un total de 370 points. Pour les Nuggets, Kiki Vandeweghe a marqué 51 points et Alex English en a marqué 47, tandis que sur les Pistons, Isaiah Thomas en a marqué 47 et John Long a marqué 41.
39 / 75 Le concours Slam Dunk a ses origines dans l'ABA lorsque la ligue naissante a organisé une compétition de dunk lors de son All-Star Game à Denver en 1976. Avec le retour du NBA All-Star Game à Denver en 1984, la ligue a décidé de ramener le célèbre concurrence. Le concours de 1984 mettait en vedette certains des meilleurs joueurs de la NBA, dont Julius Erving, Dominique Wilkins et Clyde Drexler. Le concours a finalement été remporté par le haut voleur Larry Nance, qui a mérité le surnom de Haut-Ayatollah de Slamola.
40 / 75 Michael Jordan voulait porter Adidas, mais le fondateur de Nike, Phil Knight, avait d'autres plans. Nike n'avait pas de pied dans la NBA à l'époque; mais après une présentation à Jordan en 1984, tout le monde de la chaussure et du marketing des athlètes a changé à jamais. Les premières chaussures Air Jordan sont sorties en 1985 et la NBA a interdit la chaussure en raison de ses motifs de couleur. La décision était la meilleure chose qui aurait pu arriver à Jordan et Nike, car les marques ont utilisé l'interdiction comme outil de marketing.
41 / 75 "C'est juste Dieu déguisé en Michael Jordan", a déclaré Larry Bird après que ses Boston Celtics aient à peine battu les Chicago Bulls lors du deuxième match du premier tour des séries éliminatoires de 1986. La plupart des gens oublient que les Bulls ont perdu ce match et la série, qui est entièrement due à Michael Jordan. Dans le jeu, Jordan a marqué un record de 63 points en séries éliminatoires de la NBA, donnant aux joueurs des Celtics leur test le plus difficile sur le chemin du championnat NBA de 1986.
42 / 75 La rivalité Lakers contre Celtics remonte au début de la NBA et lors de la finale de la NBA en 1987, c'était la 10e fois que les deux équipes se rencontraient pour le championnat. En 1987, c'était Magic Johnson qui affrontait Larry Bird et les Lakers menaient 2-1 avec le match 4 au Boston Garden. Les Lakers traînaient d'un point lorsque Magic Johnson s'est envolé pour la ligne des lancers francs et a tiré un bébé crochet «ciel» sur Kevin McHale pour sceller la victoire. Les Lakers ont remporté la série 4-2.
43 / 75 Les fans de la NBA se souviendront à jamais de l'annonce fatidique :"Il a besoin d'un 48 pour égaliser, d'un 49 pour gagner..." le plus grand de tous les temps. Michael Jordan a affronté Dominique Wilkins et tout s'est soldé par un dernier dunk. Jordan a marché jusqu'au côté opposé du terrain, a couru, a sauté de la ligne des lancers francs et l'a percuté, marquant un 50 et battant Wilkins devant le public de Jordan à Chicago.
44 / 75 La carrière légendaire de Michael Jordan est remplie de moments forts de dunks et de seaux gagnants depuis le moment où il était à l'université jusqu'à ses derniers jours avec les Wizards de Washington. L'un de ses coups les plus importants et les plus mémorables a eu lieu en 1989 lorsque les Chicago Bulls ont affronté les Cleveland Cavaliers au premier tour des séries éliminatoires. La série était à égalité à deux matchs chacun et s'est terminée sur le fil. Les Bulls ont joué un jeu pour Jordan qui a attrapé le ballon, a semblé rester en l'air pour toujours et a frappé "The Shot" au-dessus de Craig Ehlo au buzzer, éliminant les Cavs des séries éliminatoires.
45 / 75 Scott Skiles était un compagnon au cours de ses 10 saisons dans la NBA tout en jouant pour cinq équipes distinctes. Skiles n'a pas beaucoup de distinctions ou de statistiques record, mais ce qu'il a, c'est le match d'assistance le plus élevé de l'histoire de la NBA. Le 30 décembre 1990, le Orlando Magic (avec Skiles) a battu les Denver Nuggets 155-116. Dans la victoire, Skiles a passé pour un record NBA de 30 passes décisives.
46 / 75 Le 7 novembre 1991, Magic Johnson a fait une annonce surprise qu'il était séropositif et qu'il se retirait du basket-ball. À l'époque, Johnson était la célébrité / athlète la plus en vue à avoir été infecté par le virus et il est devenu une cause célèbre dans la promotion de la sensibilisation à la maladie. Johnson est brièvement revenu en NBA, disputant 32 matchs au cours de la saison 1995-1996, mais a de nouveau pris sa retraite peu de temps après. Autrefois considéré comme universellement mortel, Johnson est toujours en vie grâce à son accès aux avancées majeures en matière de médicaments contre le VIH.
47 / 75 1988 a été un moment décisif pour le basket-ball dans le monde entier. L'équipe olympique américaine était composée d'amateurs et n'a remporté qu'une médaille de bronze aux Jeux olympiques de 1988 à Séoul, en Corée. Après la défaite, la NBA a décidé de s'impliquer avec USA Basketball et la Dream Team a été formée pour reprendre la suprématie du basket-ball américain pour les Jeux de 1992 à Barcelone, en Espagne. La Dream Team originale comprenait Michael Jordan, Magic Johnson, Larry Bird et de nombreux autres joueurs du Temple de la renommée. L'équipe était si dominante que sa marge de victoire moyenne était de près de 44 points par match en route vers la médaille d'or.
48 / 75 At only the age of 30, and just coming off a third straight NBA Finals win, Michael Jordan surprised the world by announcing his retirement from basketball to pursue a career in Major League Baseball. Jordan's baseball career never really took off as he played for the Double-A Birmingham Barons in 1994 and only managed to hit .202 in 127 games. By March of 2005, Jordan had left baseball and decided to return to the NBA.
49 / 75 It had never happened in the history of the NBA and there was no reason to believe that the 1994 Denver Nuggets were going to change things. Coming into the 1994 playoffs, the Nuggets were the youngest team in the league and had only won 42 games. The Seattle SuperSonics, on the other hand, had won 63 games and were poised to make a title run. All that changed when the Nuggets shocked the NBA world by beating the Sonics in five games in what was then the only time an eight-seed surpassed a one-seed in the playoffs.
50 / 75 On May 7, 1995, the Indiana Pacers were losing to the New York Knicks by six points with only 18.7 seconds left in the game. What happened next was nothing short of a miracle: Reggie Miller hit a 3-pointer, then got a steal and hit another 3-pointer, and then hit two free throws during a wild nine-second span that capped a win in Game 1 of the 1995 Eastern Conference Semifinals. The Pacers went on to win the series 4-3.
51 / 75 When Michael Jordan came out of retirement in March of 1995, his team suffered a rare and humiliating loss to the Shaquille O'Neal-led Orlando Magic in the NBA playoffs. Fueled by that loss, Jordan led the Chicago Bulls to one of the most dominant seasons in NBA history, winning a then-record 72 games in the 1995–96 season, and destroying opponents in the playoffs to claim their fourth NBA championship in six years.
52 / 75 Michael Jordan was already a legend before the 1997 NBA Finals. He had won four championships, retired and unretired, and was considered one of the best players ever. But it was Game 5 of the 1997 NBA Finals that made Jordan mythic. Suffering from flu-like symptoms, Jordan fought through violent illness to score 38 points against the Utah Jazz and tie the series 2-2 before going on to win the title in six games.
53 / 75 In what seemed like a storybook ending at the time, Michael Jordan won his sixth NBA title, sixth NBA Finals MVP, and second three-peat when he hit the game-winning shot in game six of the Finals over the Utah Jazz. Jordan retired for the second time after the season before returning one last time to play for the Washington Wizards from 2001–2003.
54 / 75 After Michael Jordan brought the Chicago Bulls their sixth title in eight years, the NBA owners decided to lock out the players entering the 1998–99 season over major disputes around the NBA salary cap. The lockout lasted 191 days and threatened to cancel the entire season when players and owners reached a deal in January of 1999. The season lasted only 50 games, with the San Antonio Spurs beating the New York Knicks in the Finals. Michael Jordan retired for the second time just two weeks after the new deal was reached.
55 / 75 Vince Carter has multiple nicknames:Vinsanity, Air Canada (when he played for the Toronto Raptors), and Half Man Half Amazing. During the 2000 NBA All-Star Game, Carter more than lived up to his monikers in one of the most memorable dunk contests of all time. Carter surprised the celebrity-packed crowd with one-of-a-kind dunks that no one had ever seen before like his 360-degree windmill and dunking his entire arm through the basket. Of course, he won the dunk contest without much competition.
56 / 75 In the 2000–01 season, the Los Angeles Lakers won their second straight NBA title. In the process, the team went 15-1 in the playoffs, amassing the best playoff winning percentage in NBA history at the time (the Warriors in 2017 went 16-1). Their lone playoff loss came at the hands of their NBA Finals opponent, the Allen Iverson-led Philadelphia 76ers. The Lakers beat their opponents by an average of 12.7 points per game.
57 / 75 It has only happened five times in NBA history, and the 2001–02 Los Angeles Lakers were the fifth team to achieve the indelible mark. Joining the 1954 Minneapolis Lakers, the 1993 and 1998 Chicago Bulls, and the 1966 Boston Celtics, the 2002 Lakers squad (starring Shaquille O'Neal and Kobe Bryant) won their third straight NBA championship, solidifying themselves as one of the greatest teams ever.
58 / 75 The NBA may never see a more stacked, and important, draft class than the one in June 2003. Four-time MVP and three-time NBA champion LeBron James went #1 overall to Cleveland straight from high school; 10-time All-Star and 2013 scoring champion Carmelo Anthony went #3 to Denver after winning the NCAA title with Syracuse; and 13-time All-Star and 2009 scoring champion Dwyane Wade went #5 to Miami after two seasons at Marquette.
59 / 75 Nov. 19, 2004, is a day in the NBA that will live forever in infamy. Colloquially referred to as the “Malice at the Palace,” Nov. 19 is the day when the Indiana Pacers and the Detroit Pistons engaged in the worst brawl in NBA history. Players fought players. Players fought fans. Players jumped in the stands. Both fans and players were slapped with criminal charges. All in all, nine players were suspended for a total of 146 games and millions of dollars.
60 / 75 Though the NBA formally proposed changing the rule in 2019, in 2005, then NBA commissioner David Stern enforced a rule change that limited players' eligibility to declare for the NBA draft. The rule stated that a player needed to be 19 years old and a year removed from high school to apply for the NBA Draft. The change came to be known as the one-and-done rule, referring to top-rated college basketball prospects who would leave school after one year.
61 / 75 Kobe Bryant's 2005–06 season was legendary for a number of reasons. He averaged 35.4 points per game, he had 27 games where he scored more than 40 points, and he had six games where he scored more than 50. But it was on Jan. 22, 2006 where Bryant made history. Playing against the Toronto Raptors, Bryant scored 81 points in a winning effort putting him second only to Wilt Chamberlain's 100-point game for highest total ever.
62 / 75 According to reports, Tim Donaghy started betting on NBA games in 2003. The issue wasn't that he was betting, it was that he was betting on games he was refereeing. The scandal rocked the league and Donaghy ended up pleading guilty to wire fraud and transmitting betting information through interstate commerce. ESPN recently wrote a retrospective on the issue that dives deep into all the sordid details.
63 / 75 Throughout NBA history, there have been hall-of-fame winning trios who took their teams all the way to the title:Larry Bird, Kevin McHale, and Robert Parish; Magic Johnson, Kareem Abdul-Jabbar, and James Worthy; Michael Jordan, Scottie Pippen, and Grant Hill; and Tim Duncan, Tony Parker, and Manu Ginobili. In 2008, the Boston Celtics combined the talents of Kevin Garnett, Paul Pierce, and Ray Allen in a trifecta that dominated the league. The team won 66 games in the regular season and beat Kobe Bryant's Lakers in the NBA Finals, bringing Boston their first championship since 1986.
64 / 75 There are many basketball records that seem untouchable, such as Wilt Chamberlain's 100-point game, the Boston Celtics winning eight straight NBA Finals, or the Los Angeles Lakers winning 33 straight games. One record that was considered untouchable was Celtics coach Red Auerbach's nine championships. That record lasted from 1959–2009 when coach Phil Jackson won his 10th title as a coach. He ultimately won 11 titles while earning six with the Chicago Bulls and five with the Los Angeles Lakers.
65 / 75 In 2010, LeBron James did the unthinkable when he announced to the world he was “taking [his] talents to South Beach.” What was dubbed “The Decision” in a primetime broadcast on ESPN, James shocked his hometown of Cleveland by telling Jim Gray on live television that he was leaving for the Miami Heat. Though “The Decision” was derided, the telecast did raise millions of dollars for a variety of charities.
66 / 75 Though today Dirk Nowitzki is considered to be one of the best NBA players of all time, before 2011, he was widely considered to be “soft.” For a big man, Nowitzki's game was more lethal away from the basket with a dead-eye shooting stroke. The “soft” label came from not being able to bang around other big men down low. In 2011, Nowitzki shut up all his critics as he averaged 26 points and nearly 10 rebounds a game in leading the Dallas Mavericks over the LeBron James-led Miami Heat in six games to win the NBA championship.
67 / 75 Up until 2012, LeBron James was considered the greatest player in NBA history to never win an NBA title. After losing the previous year to Dirk Nowitzki and the Dallas Mavericks, LeBron took over the Finals with per-game averages of 28.6 points, 10.2 rebounds, and 7.4 assists to defeat the Kevin Durant, Russell Westbrook, James Harden-led Oklahoma City Thunder in five games.
68 / 75 The 2012–13 Miami Heat was one of the most dominant teams in NBA history. Not only did they beat the San Antonio Spurs for the NBA championship, the also went on the second-longest winning streak of all time. From Feb. 3 to March 27 in 2013, they won 27 straight games, falling just six games short of the all-time record of 33 set by the Los Angeles Lakers in 1972.
69 / 75 After enduring one of the most heartbreaking losses in NBA Finals history, the San Antonio Spurs became a team possessed with avenging their loss to the Miami Heat in 2013. The Spurs rolled through the Western Conference to meet the Heat for the second straight year in 2014. Not only did they win the series in five games, but they set the record with the highest margin of victory in NBA history by outscoring the Heat by 70 points over the five games.
70 / 75 After crushing the hearts of his hometown fans and playing in Miami for four years, LeBron James decided to bring his talents back to Cleveland. LeBron's impact was immediately felt as he guided the Cavaliers to the Finals in his first year. He failed to secure the title, losing to the Golden State Warriors 4-2, but better outcomes were on the horizon.
71 / 75 LeBron James was already considered to be one of the greatest players of all time, but it wasn't until he brought a title to his hometown team that he cemented his legacy. The Cleveland Curse was named for the city's championship futility from 1964–2016 with the Cleveland Browns as the last team to win any title for the city. LeBron not only broke the curse, but he beat the Golden State Warriors who won a record 73 games during the regular season.
72 / 75 With per-game averages of 31.6 points, 10.4 assists, and 10.7 rebounds, Russell Westbrook became the second player in NBA history to average a triple-double over the course of an entire season. The first player to achieve this tremendous feat was Oscar Robertson in the 1961–62 season. For his accomplishment, Westbrook was also awarded the Most Valuable Player of the Year award.
73 / 75 The Golden State Warriors swept the Cleveland Cavaliers 4-0 in the NBA Finals to secure their second straight championship. The win officially cemented the Warriors as the team of the decade and placed them in rare company as only the fourth franchise in history to win three titles within a four-year span. The other dynastic teams to achieve that feat include the Boston Celtics, Los Angeles/Minneapolis Lakers, and Chicago Bulls.
74 / 75 Led by Finals MVP Kawhi Leonard and first-year head coach Nick Nurse against an injury-riddled Warriors team in search of a three-peat, the Toronto Raptors delivered their fans—and country—their first Larry O’Brien Trophy in a 4-2 series win. Kevin Durant, having averaged 34.5 points heading into Game 5 of the Western Conference Finals, left the game with a calf strain. He returned in Game 5 of the Finals only to rupture his Achilles. In the third quarter of the deciding Game 6, Klay Thompson then tore his ACL after scoring 30 points. Curry missed a game-tying three, and Toronto celebrated.
75 / 75 With the NBA just mere weeks from the 2019–20 postseason, the COVID-19 pandemic abruptly stopped play on March 11. Following early European soccer shutdowns, the NBA became the catalyst and example for how to handle sports in light of public and player safety. On June 4, per ESPN’s Adrian Wojnarowski, the league’s Board of Governors voted to approve a 22-team resumption format—mini eight-game schedules followed by postseason—in Orlando from July 31–Oct. 12.
